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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 07:25

Le 28 juin, deux responsables régionaux de l'enseigne hard-discount Lidl ont été déférés au parquet de Senlis, dans l'Oise. Le motif : une ex-employée les accuse de discrimination.

Titulaire d'une carte de séjour délivrée au titre du regroupement familial, portant mention « vie privée et familiale »,  la plaignante n'avait pas été gardée à l'issue de son contrat à durée determinée. Une décision qu'elle met sur le compte de son titre de séjour temporaire, pourtant renouvable, et qui autorise ses détenteurs à travailler en France.

« Etrangers, votre CV ira à la broyeuse »

Fatiha Hiraki, chef de magasin à Clichy dans les Hauts-de-Seine, et déléguée syndicale à l'Unsa, n'est pas étonnée par la plainte. Si elle ne cautionne pas les propos de ceux qui taxent l'enseigne de racisme, elle est néanmoins sans équivoque sur cette affaire :

« Ce n'est pas un cas isolé. Depuis fin 2009, les consignes sont claires : il ne faut plus embaucher les personnes avec ce titre de séjour. D'ailleurs, quand elles viennent postuler, je leur dis d'emblée la vérité : leur CV ira à la broyeuse. C'est de la discrimination pure et simple. »

Elle renchérit, dévoilant le modus operandi de ce qu'elle appelle le « système Lidl » :

« Au siège, lors des formations des cadres, on diffuse les bonnes pratiques de recrutement. Certains disent même qu'une diapositive montre une carte de séjour “vie privée et familiale” barrée en rouge. C'est donc très clair. »

Jointe par Rue89, la direction n'a pas souhaité s'exprimer, si ce n'est par la voix de son avocat, en charge de la défense des deux prévenus. Pour Me Olivier Gutkes, ces accusations sont insensées :

« Nous contestons formellement ces accusations et nous saurons apporter les preuves de notre innocence. Pour l'instant, nous avons subi sans pouvoir nous défendre. Connaissez-vous une enseigne qui compte plus d'un tiers d'étrangers dans ses effectifs ? »

« Des centaines d'employés à Lidl avec ce titre de séjour »

Selon le Bondyblog, le responsable de la plaignante souhaitait la maintenir en poste, à l'issue de son CDD. Elle donnait satisfaction et il y avait un besoin de personnel dans le magasin.

Néanmoins, les directives de sa hiérarchie étaient claires. Toujours selon le média, qui cite un des témoins, Lidl ne recrute plus d'étrangers titulaires de carte de séjour « vie privée et familiale ». L'employée a alors décidé de saisir la justice, et de déposer plainte.

Selon Me Gutkes, le souci est tout autre :

« Une personne peut légitimement se sentir déçue quand elle ne décroche pas un emploi. Ce n'est pas pour autant de la discrimination. »

L'avocat s'étonne des rumeurs autour de l'affaire, qui éloignent le dossier des véritables faits :

« Le 18 août [la date du procès, ndlr], j'apporterai le dossier de centaines d'employés qui travaillent chez Lidl avec des cartes de séjours “vie privée et familiale, et, encore mieux, avec des cartes étudiants, encore plus précaires et provisoires. Franchement, quel serait l'intérêt de les empêcher de travailler ? ”

Fatiha Hiraki lui répond, indirectement :

“Le processus de renouvellement de cette carte de séjour nécessite parfois des aménagements de plannings, voire le financement de certains frais par l'employeur. Et ça, Lidl n'en veut pas. Ça entrave la productivité.”

“Coupable mais pas raciste”

Un employé de l'une des enseignes du hard-discounter dans le Val-d'Oise est content que quelqu'un brise la loi du silence. Pour cet homme d'origine africaine, Lidl n'en est qu'au début de ses déboires. Si lui non plus ne croit pas la hiérarchie “raciste”, il reste convaincu de sa culpabilité :

“On prend des étrangers parce qu'ils ont beaucoup plus peur de perdre leur emploi et supportent mieux des conditions de travail parfois difficiles. Mais ceux qui ont une carte vie privée et familiale posent trop de problèmes administratifs. Ça ne m'étonne pas qu'ils n'en veulent pas. Pour eux, tout doit être lisse.”

Il tient à garder l'anonymat. Selon lui, la peur du harcèlement rend les employés, à commencer par lui, réticents à témoigner, même quand ils assistent à des scènes “très très limites” :

“Ici c'est la loi du silence. Alors, on s'habitude à ne rien dire. Je n'ai pas envie d'avoir mes responsables sur le dos toute la journée, et de me faire licencier pour un motif bidon.”

En 2007, Fatiha Hiraki affirme avoir été victime de violences. Un responsable l'aurait bousculée dans la réserve. L'affaire a été classée sans suite, faute de preuves.

“C'était ma parole contre la sienne. La plainte n'a rien donné, mais désormais, avec moi, ils savent à quoi s'en tenir. Beaucoup d'autres ont peur de perdre leur job : c'est le salaire de la peur”.

 

 

Source : http://www.rue89.com/2011/07/11/discrimination-a-lembauche-deux-cadres-de-lidl-epingles-213729

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11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 08:16

 

Deux cadres du hard discounter, soupçonnés d’avoir donné l’ordre de ne pas engager des étrangers munis d’un certain type de titre de séjour, ont été placés en garde à vue le 28 juin. Mona a recueilli les avis et témoignages des employés et syndicalistes proches de ce dossier.

 

Le 28 juin, deux cadres supérieurs du hard discounter allemand Lidl ont été placés en garde à vue dans les locaux de la Police judiciaire de Creil, dans l’Oise. Les deux hommes auraient donné l’ordre de ne pas recruter d’étrangers titulaires d’un titre de séjour portant la mention « vie privée et familiale », attribué aux conjoints de Français. Pour la première fois depuis la garde à vue de ces deux cadres, des hommes et des femmes, tous employés ou anciens collaborateurs de la société s’expriment et racontent le dessous de l’affaire au Bondy Blog. Selon eux, les ordres étaient clairs : « Le recrutement de candidats étrangers titulaires d’un titre de séjour « vie privée et familiale » était formellement interdit. »

« C’était un excellent élément et je souhaitais la garder dans l’équipe », affirme Olivier K.*, le responsable de réseau par qui tout a commencé. Cet élément, c’est Aissatou S., arrivée en France pour vivre avec son époux français. Son titre de séjour temporaire lui permettant de travailler, elle a rejoint le géant allemand du hard discount alimentaire dans le cadre d’un contrat aidé. Aissatou S. occupait le poste de caissière-employée libre-service dans l’un des magasins dirigé par Olivier M. en Picardie. « A la fin de son contrat, c’est tout naturellement que je lui ai fait part de mon intention de la recruter en contrat à durée déterminée. J’étais satisfait d’elle et j’avais besoin de renfort au magasin, pourquoi recruter une autre personne ? », confie Olivier K.

 

 

Pour constituer le nouveau contrat d’Aissatou S., le responsable de réseau fait alors remonter les pièces du dossier au service des ressources humaines du siège régional de Barbery, en Picardie. Le dossier lui est retourné. Refusé. « Nous avions convenu de nous revoir pour la signature du contrat quelques jours plus tard. Pour moi, ce rendez-vous ne devait être qu’une formalité administrative. » Pourtant, une fois face à Aissatou S., il a dû lui annoncer qu’il ne pouvait plus la recruter malgré le manque de personnel dans le magasin. « J’ai alors tenté de négocier avec mes supérieurs mais le message était clair : Lidl ne recrute plus d’étrangers titulaires d’un titre de séjour « vie privée et familiale ». »

Par souci de transparence face à cette personne qu’il connaissait et dont il appréciait le travail, Olivier. M. décide de lui expliquer les raisons pour lesquelles son recrutement n’était plus possible. « C’était délicat. J’étais embarrassé alors qu’elle, était humiliée. Aissatou S. a aussitôt porté plainte contre moi pour discrimination à l’embauche », soupire-t-il. « Lors de mon audition par le commissaire de police, j’ai tout dit. J’ai donné le nom de mes supérieurs et expliqué en détails les consignes que nous recevions de nos directeurs et du siège de Strasbourg », raconte Olivier K. 

 

Plusieurs mois après la plainte de la jeune femme, ce sont le directeur régional pour l’Ile-de-France, l’Oise et l’Aisne et le responsable administratif qui ont été placés en garde à vue au commissariat de Senlis, en Picardie. D’anciens collègues ont soutenu Olivier K. et ont également été entendus par la police. Ils ont confirmé que des consignes avaient bien été données afin de ne plus recruter d’étrangers titulaires de ce type de titre de séjour.

« La première fois que nous avons reçu ces directives, nous étions en réunion mensuelle en Picardie. C’était début 2010 », témoignent Charles et Sonia, deux anciens responsables de réseau de la région parisienne. « Nous étions choqués d’entendre de telles choses mais ne pouvions rien faire pour les changer. Il fallait suivre les ordres », expliquent-ils. Quelques mois après cette réunion, une vague de démissions secoue la direction régionale : la moitié des responsables de réseau décide de quitter la société. « Nous n’étions plus en phase avec plusieurs des consignes et le management que l’on nous demandait d’appliquer. Il était courant de recevoir l’ordre de nos supérieurs de licencier, en urgence, un salarié étranger qui avait un titre de séjour « vie privée et familiale » avec une date proche du renouvellement.  C’était à nous de trouver le motif. Difficile quand tout se passe bien », constatent-ils.

« En soutien à Olivier, nous avons réuni autant de preuves que nous pouvions. Les langues se sont déliées. Aujourd’hui, nous avons en notre possession près d’une centaine de dossiers « vie privée et familiale » refusés et retournés en magasin par la direction régionale ainsi que des documents présentés aux réunions au siège strasbourgeois », se félicite Sonia.

 

Selon Me Olivier Gutkes, l’avocat des deux responsables placés en garde à vue fin juin, tout cela n’a pas de sens : « Il n’y a pas de discrimination à l’embauche chez Lidl. Il suffit de consulter les registres du personnel. Un tiers des employés des magasins de la région de Barbery est étranger. Il semblerait juste qu’une personne n’ait pas obtenu le poste qu’elle souhaitait, et elle a cru opportun de porter plainte », assure-t-il avant d’ajouter que « Lidl détient suffisamment d’éléments qui lui permettent d’être confiant quant à l’issue de cette affaire ». Il précise que pour son client, « seules comptent les valeurs de l’individu et non sa nationalité ou ses origines. »

 

« S’il y avait réellement discrimination, que faisaient les syndicats ? », interroge Me Gutkes. « Pour des raisons évidentes de discrétion, les ordres de cette nature sont toujours adressés oralement », explique Lahouri Tami, secrétaire général du syndicat UNSA. « C’est exactement la même chose avec les cas de harcèlement sexuel sur lesquels nous travaillons, nous ne pouvons intervenir tant que les preuves ne sont pas solides, même lorsque nous savons que cela est réel. Cela nécessite du temps. »

Fatiha Hiraki, chef de magasin et déléguée syndicale UNSA, a obtenu la confirmation de l’existence de ces directives grâce aux bons rapports qu’elle entretenait avec certains responsables « réseau », mais surtout à son poste de chef. « Dès que j’ai eu connaissance de cette pratique, j’ai aussitôt prévenu la HALDE (Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité). »

Pour Fatiha Hiraki, les raisons de cette forme de discrimination sont simples : « Recruter des étrangers avec ce type de titre de séjour exige un personnel dédié au sein du service des ressources humaines. Les échanges avec les préfectures et l’OFII, l’Office français de l’immigration et de l’intégration, sont nombreux et entraînent un surplus de travail. De plus, cela demande une certaine gymnastique dans les emplois du temps du personnel car lorsqu’un salarié étranger doit renouveler son titre de séjour, il ne peut plus travailler et cela peut durer de quelques semaines à plus d’un mois », précise-t-elle.

« Il y a également ceux qui reviennent en magasin avec le document que la préfecture leur remet. Il leur permet de solliciter auprès de l’employeur une prise en charge des frais de renouvellement qui s’élèvent à plusieurs centaines d’euros par an et par salarié. Ne plus recruter cette catégorie d’étrangers simplifie les choses. C’est le calcul qu’a fait le hard-discounter », explique-t-elle.

Le hard-discounter se défend d’être raciste et nie la discrimination. Sonia, ancienne responsable de réseau, fulmine : « C’est honteux de jouer sur les mots avec un tel dossier. Nous ne disons pas que Lidl est raciste, nous disons qu’il y a eu discrimination. »

Aujourd’hui, Olivier M. a retrouvé un emploi, mais reste lié à Lidl par cette plainte qui existe toujours contre lui. « C’est encore très lourd à gérer. Je ne veux plus y penser, j’ai juste envie de passer à autre chose, dit-il. C’est Lidl qui a fait de la discrimination, pas moi. »

 

*Les identités ont été changées

 

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 07:49

Bonjour,

 

Nous constatons l'utilisation illicite de notre logo sur votre blog.

 

 

 Indépendemment (Vous n’utilisez pas le correcteur automatique Word chez Lidl,

 au service communication ?) 

 

des propos qui y sont tenus et qui vous appartiennent, nous vous rappelons qu'il est formellement interdit d'utiliser ou reproduire un logo de marque déposé sans autorisation.

 

Merci de procéder immédiatement au retrait de notre logo de l'ensemble des pages de votre blog, sous peine de vous exposer à des poursuites.

Sincères salutations,

 

Responsable Communication Lidl France

 

 

 

 

 Mail + message dans Témoignage Lidl N°5.

 

 

 

 

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 16:24

 

 

Une information RTL nous apprend la probable mise en examen pour discrimination à l’embauche du directeur des hypermarchés du groupe Lidl de la région parisienne, de l’Oise et de l’Aisne.

 

 

Il avait été placé e garde à vue mardi en compagnie de son directeur administratif.

Ils sont soupçonnés d’avoir refusé de recruter tous les étrangers, titulaires de cartes de séjours « vie privée et familiale »

 

Source RTL.

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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 16:32

Bonjour,

J'ai moi aussi tenté l'aventure humaine proposée par Lidl.

Si vous aimez travailler plus de 80 heures par semaine, si vous pensez que pour faire performer des équipes, il faut être militaire, inhumain et méprisant, alors welcome !!!

7 kg perdus en 5 mois, des cadences infernales, de la manutention, 5 mois de cauchemar en magasin à faires les taches plus ingrates, voilà ce qui vous attend. Le tout à une heure minimum de route
de chez vous, histoire de voir si vous êtes motivé.

Et ne répondez pas !!!!

Chez Lidl, on écoute son supérieur, on applique et on se tait !

Le plus "drôle" c'est que vous êtes formé par des chefs caissières et des chefs de magasin que vous devez animer (chercher l'erreur ... ...).

Sachez également que, quoi qu'il arrive, vous vous ferez allumer par votre supérieur à chacun de ses passages car cela fait partie de son métier. Et si vous même, vous n'êtes pas capable d'être
aussi c... que lui, vous n'y arriverez pas.

Alors oui, le salaire est attractif, on vous file une jolie berline allemande mais je ne sais toujours pas comment les pseudos manager de chez lidl font pour se regarder dans une glace le matin
quand on connait le nombre d'accident du travail ou de dépression dans les magasins.

Leur principale technique de management réside sur la peur de son supérieur (et ça marche à tout les niveaux). D'ailleurs quand les filles en magasin voient une Audi se garer sur le parking, c'est
la panique à bord !

Sachez également qu'ils recrutent plus que ce dont ils ont besoin. Seuls les plus dociles, les plus inhumains resteront.

J'ai néanmoins un excellent souvenir chez Lidl : le jour où je suis parti.

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 07:23

La quasi-totalité des employés des supermarchés Lidl de Haguenau, Wissembourg, Oberhoffen-sur-Moder, Reichshoffen ont cessé le travail hier matin durant deux heures pour protester contre la dégradation de leurs conditions de travail et la stagnation des salaires.

 

Le mouvement de grève organisé à l'échelon national à l'appel de la CFDT a également touché la plateforme de distribution d'Entzheim. Devant la porte du magasin Lidl d'Oberhoffen (ouvert en ce jeudi de l'Ascension au titre de la journée ...

 

 

 

Source: DNA

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 09:58

 

 

 

 

 

 

 

Entreprise d’origine allemande, Lidl est le numéro un du hard-discount en France, où elle possède 1 700 magasins et emploie 22 000 salariés.

 

La famille Schwarz, propriétaire de l’enseigne et deuxième fortune d’Allemagne, a fondé son empire sur des méthodes de management rudes et une exploitation maximale de sa main-d’œuvre.

En Allemagne, ses méthodes de surveillance de son personnel avaient défrayé la chronique en 2008.

La firme avait été condamnée à une amende de 1,5 million d’euros pour avoir engagé des détectives privés chargés de surveiller les employés à l’aide de micro caméras.

 

Surveillance, contrôles, harcèlements… ces méthodes n’appartiennent visiblement pas au passé.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 09:57

Ce vendredi matin, le directeur du magasin Lidl de Lamballe a fait grève devant son magasin.

 

Il protestait contre les conditions de travail des sept salariées qu’il dirige.

« La direction impose une charge de travail inhumaine et quand on se plaint, on nous répond qu’on est mal organisé », s’indigne le responsable du Lidl.

 

Syndiqué à la Confédération française des travailleurs chrétiens, Jean-Marc Hubert dirige le magasin depuis 30 ans et il constate que les cas de troubles musculo-squelettiques se sont multipliés chez ses salariées.

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 09:23

 

 

 

Bonsoir,

 

 


Je tenais a m'exprimer et constater qu'en ayant travailler chez lidl, en tant que caissière libre service, je m'en suis pris plein la gueule!! et de plus il c'est trouver que je suis tomber sur une
responsable magasin (celle qui m'a formée) soit une jalouse, une rageuse certainement pour des raisons physique... de la, je me dis que c'est vraiment grave d'en arriver là!

Elle m'a descendu au plus bas qu'elle pouvait,  n'a raconter que des choses, tout ce qu'elle pouvait sortir elle le lâchait alors que tout se passait très bien pour moi, je commençais a me sentir chez moi, je n'ai jamais eu d'absence, ni retard, seulement comme elle n'aimait pas non plus une collègue à moi (à qui je parlais...) elle a décider de nous faire subir et de nous faire faire toutes les merdes que les autres laissaient derrière eux... sans parler on a toujours fait ce qu'elle nous demandait... et puis un jour, j'arrive au travail toujours de bonne humeur, souriante, et on m'annonce que je signe ma fin de contrat!!

 

J'ai donc demander pour quelles raisons je terminais mon contrat, et le responsable en question ne savait pas quoi me répondre, il bégayait... du coup il m'a sortit que je
n'étais pas assez dynamique!! Dégoûter je suis partit en pleurant car je souhaitais vraiment rester chez eux, et puis le lendemain en y repensant je me suis mise à en rire parce que ce motif qu'on m'avais sortit ne me correspondait vraiment pas!! je me levais a 4h du matin pour aller bosser et voilà qu'on m'éjecte comme un chien!! Aujourd’hui je me dis que je vaux beaucoup plus que ça et que je trouverai un travail avec mille fois plus de valeur que chez 'lidl'!

Sans regret et un grand merci encore a Madame Kabach du magasin Lidl de Sevran!!

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 09:23

 

 

 

L'entreprise proposait lundi une TV LCD "full HD" pour un prix n'atteignant pas 250 euros, mais la quantité de produits disponibles était si limitée que des dizaines de consommateurs sont rentrés les mains vides.

 

 

La chaîne de supermarchés Lidl a beau avoir déjà été condamnée pour publicité abusive, elle ne semble pas prête à changer ses habitudes. L'entreprise proposait ainsi lundi une TV LCD "full HD" pour un prix n'atteignant pas 250 euros, mais la quantité de produits disponibles dans les 66 magasins visités par des journalistes du quotidien Het Nieuwsblad à l'ouverture était si limitée que des dizaines de consommateurs sont rentrés les mains vides, peut-on lire mardi dans le quotidien. On dénombrait dans de nombreux magasins à peine quelques télévisions et parmi ceux visités, aucun n'en proposait plus de sept, selon le quotidien Het Nieuwsblad. Les appareils étaient souvent tous vendus quelques minutes après l'ouverture. Une situation qui énerve et frustre les clients, mais aussi les travailleurs. "Je suis responsable de l'emballage des articles en promotion spéciale, le soir avant les jours dits "non-food", le lundi et jeudi", explique un travailleur de chez Lidl qui souhaite rester anonyme. "Avec les collègues nous pouvons alors déjà prédire que ces jours-là nous serons à nouveau confrontés à de nombreux clients mécontents." Lidl pour sa part maintient qu'au niveau national il y a suffisamment d'articles proposés. "Nous ne pouvons pas révéler le nombre total d'articles livrés", a réagi Lien Truwant, responsable communication pour la chaîne de supermarchés. "Il est réellement impossible de prévoir dans quels magasins l'article aura du succès. Souvent un magasin est confronté à un manque d'article tandis qu'un autre reste avec des invendus."

 

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