Carrefour débordé
Carrefour Belle Epine, hier, une queue bien longue derrière la ligne bleue.
Carrefour s’engage à se mobiliser paraît-il (en tout cas c’est écrit en gros) aux caisses dès que la ligne bleue est franchie.
Oui, elle s’engage, mais si elle ne tient pas, rien ne se passe.
« Ce sera pas possible », formule sans doute trouvée dans le manuel du parfait Carrefourman.
Et puis, vous vous êtes laissé prendre par un panneau qui annonce une promotion.
Et vous constatez que le prix à la caisse que vous avez enfin atteinte (le frais dans le caddie est déjà bien chaud, heureusement il n’y avait pas de congelé)
n’est pas celui affiché en gros sur l’affiche.
La caissière vous dit d’aller à l’accueil.
A l’accueil de l’étage personne.
Il faut aller à un autre étage.
Comment ?
En repassant par le magasin.
Oui mais comment aller à un autre étage avec un caddie plein et payé ?
Trop compliqué, vous risquez l’intoxication si le frais n’est pas rapidement mis au frigo. Alors vous abandonnez, en rage.