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3 janvier 2018 3 03 /01 /janvier /2018 14:26

A Hasparren, le patron du magasin Leclerc Express a décidé de ne plus accorder son aide au CCAS. Mesure de rétorsion, après le refus municipal de le laisser ouvrir l’entièreté des deux derniers dimanches de décembre 2018

Chacun appréciera l’élégance du geste. À Hasparren, le patron du magasin Leclerc Express a décidé de ne plus accorder son aide au centre communal d’action sociale (CCAS). Des élus locaux évoquent le même traitement appliqué à l’ensemble des associations jusqu’alors sponsorisées par l’enseigne. Mesure de rétorsion, après le refus municipal de la laisser ouvrir l’entièreté des deux derniers dimanches de décembre 2018.

L’assemblée des édiles haspandars s’est réunie le 29 novembre dernier. Parmi les dossiers à trancher, l’urticante ouverture des commerces de la commune les dimanches 23 et 30 décembre prochains. Plus précisément les après-midi, en ce qui concerne Leclerc Express : les boutiques alimentaires pouvaient déjà ouvrir le matin. La loi permet depuis 2016 les « dimanches du maire ». Sur décision du Conseil municipal, le premier magistrat peut accorder des ouvertures exceptionnelles, dans la limite de 12 dates par an (les communes doivent décider avant le 31 décembre de l’année précédente). Cette fois, ce fut « non ». Et nettement. Vingt votes contre la mesure, sept voix favorables seulement et deux abstentions.

 
Plume acide

Affaire classique. Affaire classée ? Nenni. Gilles Gandon, le président de la société Sodibay, qui détient la moyenne surface d’Hasparren, prend la plume pour un courrier laconique au maire, Beñat Inchauspé. Il ne signera plus son chèque traditionnel au CCAS. L’association soutient les habitants les plus fragiles, confrontés à la précarité.

Le premier magistrat préside la structure. C’est lui qui décachette la missive revancharde, datée du 11 décembre. Gilles Gandon y tire un trait sur l’entente jusqu’alors en vigueur : « Compte tenu de votre position pour l’ouverture des commerces sur votre commune les dimanches de décembre 2018, nous sommes contraints de mettre un terme au partenariat que nous partageons depuis de nombreuses années. » Et d’enfoncer le clou, acide : « C’est avec un certain regret que nous avons pris cette décision qui découle de l’avis de votre Conseil municipal. »

Beñat Inchauspé répond à l’entrepreneur quelques jours plus tard. Il prend acte de « l’arrêt de (sa) générosité » à l’endroit « des personnes défavorisées » de la commune. « Sur le fond, je ne peux que déplorer une telle attitude », écrit-il. Le maire aussi manie l’ironie : « Votre conception de l’économie solidaire et désintéressée ne vous fait pas honneur. » Il promet de « diffuser très largement » leur échange de correspondances. Ces lignes attestent la parole tenue…

« Pression sur les élus »

Dans un communiqué, le groupe abertzale de gauche Herritarrekin s’élève contre « ce qui (lui) semble scandaleux ». Il convient qu’un acteur privé n’a pas « à se justifier sur le versement ou non de subventions aux associations ». Mais l’opposition municipale fustige l’attitude qui consiste à « prendre le secteur associatif en otage et le forcer à faire pression sur les élus ». Herritarrekin insiste sur l’aide au CCAS « qui concernait depuis plusieurs années l’opération de Noël pour les enfants des milieux défavorisés ».

Selon les élus abertzale, plusieurs associations auraient à pâtir du coup de sang du chef d’entreprise. Et « il semblerait que d’autres commerces aient utilisé le même argument pour remettre en question leur soutien à des associations ». Ou comment des acteurs de la vie locale, très majoritairement bénévoles, se retrouvent victimes collatérales d’appétits commerciaux qui les dépassent.

Mardi soir, nos tentatives de joindre Gilles Gandon s’étaient arrêtées aux portes de son secrétariat.

 

Source: sudouest.fr

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11 juin 2016 6 11 /06 /juin /2016 10:39

Les deux femmes ont été mises à pied. La direction leur reproche d'avoir utilisé à des fins personnelles un bon d'achat destiné à un client

Un rassemblement était organisé ce lundi par la CGT devant le centre commercial Leclerc de la Teste-de-Buch, en soutien à deux caissières de l'hypermarché.

Elles étaient en effet convoquées pour un entretien préalable à un licenciement après avoir été mises à pied le samedi 28 mai.

La direction leur reproche d'avoir utilisé à des fins personnelles un bon d'achat destiné à un client. Mais selon, Corine Navaro, l'une des deux caissières qui est aussi déléguée syndicale CGT, il s'agit d'une volonté de la direction de l'écarter.

Depuis son élection au comité d'entreprise, la représentante du personnel s'est battue pour obtenir de nouveaux droits pour les employés du magasin. Une pugnacité qui selon elle, dérange la direction du magasin.

Par le biais de sa juriste, la direction du centre commercial confirme qu'une procédure de licenciement est bien engagée à l'encontre de deux salariées mais elle refuse de s'exprimer sur le fond de l'affaire. En revanche, elle précise "il est certain que nous ne serions pas engagés dans une telle procédure si nous ne disposions pas d'éléments irréfutables qui n'ont bien entendu aucun lien avec une quelconque appartenance syndicale."

Source: Sud Ouest

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8 juin 2016 3 08 /06 /juin /2016 11:19

Michel-Edouard Leclerc n'a pas du tout apprécié la critique de Périco Légasse. L'homme d'affaire reçu dans l'émission Le Divan de Marc-Olivier Fogiel mardi 7 juin est revenu sur sa vie de famille et son rapport à l'argent.

Il a également été confronté à une critique du journaliste Périco Légasse sur sa demande aux agriculteurs de baisser le prix du porc de 4 %.

"C'est un salaud", a simplement fini par dire Michel-Edouard Leclerc pour commenter la critique du journaliste.

Visiblement agacé par l'attaque de Périco Légasse, le patron des magasins Leclerc a aussi dit ressentir de la pitié pour Périco Légasse qui "n'existe pas par lui même, avec une idée positive et a besoin de [lui] pour faire son repoussoir"

source: Le HuffPost

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 10:21

Des tracteurs et leurs remorques utilisés pour bloquer l'accès au parking de l'enseigne de grande distribution d'Andrézieux-Bouthéon et du fumier déversé à l'appel des Jeunes Agriculteurs, une trentaine de personnes s'est rassemblée, depuis 8 heures ce vendredi matin, devant l'hypermarché Leclerc.

Il y a une semaine, dans leur lutte contre la baisse du prix du lait (-10% depuis l'automne dernier), les paysans étaient déjà venus demander des explications auprès de la direction de l'enseigne. Direction qui les avait renvoyés vers les industriels et les coopératives. Exigeant les factures, ils avaient promis de revenir.

C'est ce qu'ils ont fait ce vendredi matin à Andrézieux-Bouthéon mais également à Riorges.

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 10:16

Plus d'une trentaine de tracteurs se sont rendus tôt ce matin sur le parking de l'hypermarché pour protester contre les tarifs de la grande distribution.

Une dizaine de bennes ont déversé fumier, pneus et cagettes devant les entrées du Leclerc, ce matin, à partir de 5 h 30. Les éleveurs manifestaient contre les tarifs du lait, de la viande porcine et bovine.

D'après un membre de la FNSEA, la grande distribution demande des prix trop bas : « Le phénomène s'accentue, c'est de pire en pire. » Toujours selon le syndicat, Leclerc n'appliquerait pas l'accord signé au mois de juin concernant la viande bovine. La direction du magasin de Châteaubriant n'a pas souhaité répondre.

Les agriculteurs, à bord d'une trentaine de tracteurs, ont quitté le parking de l'hypermarché vers 6h30.

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 10:13

En 2013, l'Etat français avait assigné l'enseigne de grande distribution Leclerc devant le tribunal de commerce de Paris en raison d'un "déséquilibre significatif" dans les relations commerciales avec ses fournisseurs. Après cette condamnation avec à la clé une amende record, Bercy rappelle "sa détermination à mettre un terme aux pratiques contraires à la loyauté des relations commerciales entre fournisseurs et distributeurs".

Dans un communiqué diffusé ce mercredi 8 juillet, le ministère de l'Economie a pris acte de la condamnation de Leclerc. La Cour d'Appel de Paris vient en effet de condamner l'enseigne de grande distribution à restituer via le Trésor Public la somme de 61,2 millions d'euros à 46 de ses fournisseurs, un montant record, ainsi qu'à une amende de 2 millions d'euros. Les fournisseurs concernés travaillaient notamment dans les secteurs de la charcuterie, des produits laitiers, des conserves et de la confiserie.

"L'enseigne a été sanctionnée pour avoir obligé ses fournisseurs à lui verser indûment des ristournes de fin d’année. En outre, elle demandait à ces mêmes fournisseurs de verser ces acomptes avant même le paiement des marchandises", indique le communiqué de Bercy. "La mobilisation de la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) continuera pour empêcher de telles pratiques (...) contraires à la loyauté des relations commerciales entre fournisseurs et distributeurs".

En 2013, l'Etat français avait assigné Leclerc en raison d'un "déséquilibre significatif" dans les relations commerciales avec ses fournisseurs. Le groupement d'indépendants, deuxième distributeur généraliste en France derrière Carrefour, avait déjà fait l'objet en 2011 d'assignations de Bercy, à l'époque où Christine Lagarde était ministre de l'Economie et Frédéric Lefebvre ministre du Commerce, mais le ministère de l'Economie avait finalement été débouté de sa procédure.

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9 mai 2015 6 09 /05 /mai /2015 14:52

Des salariés de Leclerc Drive à Nœux-les-Mines seront en grève ce samedi matin. Leurs griefs : de mauvaises conditions de travail, le manque de personnel, des salaires bas et des pressions. Les commandes risquent d’être perturbées.

Le mouvement de grève démarrera ce samedi matin à 9 h. « Nous distribuerons des tracts aux automobilistes », annonce Benjamin Roussey, Nœuxois de 25 ans, embauché il y a trois ans au drive Leclerc en tant qu’employé commercial. « On veut se faire entendre. » Les commandes seront donc préparées normalement de 5 h à 9 h par ceux qui sont postés le matin mais après 9 h, il risque d’y avoir quelques perturbations.

Benjamin Roussey espère qu’une bonne dizaine de salariés sur les 21 de la structure, en comptant les contrats étudiants et les CDD, participeront au mouvement. Ce qu’ils dénoncent ? « De mauvaises conditions de travail. Par exemple, on n’a pas d’équipement pour travailler aux surgelés avec des températures qui vont jusqu’à - 18, - 20º C. Pour attraper les articles, on doit monter sur des racks. On peut se blesser. Il y a déjà eu des chutes. »

Le salarié parle aussi de manque de personnel, « notamment pour le réapprovisionnement. Une seule personne le fait le matin, c’est-à-dire qu’elle reçoit les palettes et met les produits en stock. On l’aide comme on peut mais ça dépend de l’activité. Il manque facilement cinq personnes pour que ça tourne bien ».

« De l’esclavagisme moderne »

Autre revendication, les salaires trop bas. Benjamin Roussey regarde sa dernière fiche de paie : 1 180 € avec quelques heures supplémentaires.

Enfin, il dénonce aussi « des pressions morales pour exiger de la productivité. Quand il y a beaucoup d’activité, on nous dit de faire des heures supplémentaires le jour même sous menace d’avertissement. Ça ne nous dérange pas de faire des heures supplémentaires car elles sont payées. Ce qui nous gêne, c’est que c’est toutes les semaines. Sur notre contrat de travail, on fait 36,45 heures mais des semaines, on atteint 42,45 heures. »

Le drive de Nœux-les-Mines gère aussi celui de Bruay. « On enregistre 170 à 190 passages par jour. Le week-end, c’est souvent le double. Jeudi dernier, on a eu 272 commandes pour le drive de Nœux et 140 pour celui de Bruay. C’est de l’esclavagisme moderne. On en a marre et on veut le montrer. »

Les grévistes seront accompagnés par un représentant CFDT mais n’ont pas prévenu la direction. « On voulait que ce soit une surprise. »

Des salariés de Leclerc Drive à Nœux-les-Mines seront en grève ce samedi matin. Leurs griefs : de mauvaises conditions de travail, le manque de personnel, des salaires bas et des pressions. Les commandes risquent d’être perturbées.

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6 avril 2015 1 06 /04 /avril /2015 18:03

Dans la nuit de vendredi à samedi, les éleveurs de porcs bretons ont manifesté leur malaise face aux graves difficultés que la filière porcine rencontre. Plusieurs centres Leclerc, principalement dans les Côtes-d'Armor et dans le Finistère ont subi des dégradations. Michel-Edouard Leclerc riposte aujourd'hui sur son blog. Et affirme continuer à agir -malgré les violences- pour la filière porcine. "Comme toujours" écrit Michel-Edouard Leclerc, "quelques excités s’en sont pris ce week-end aux parkings d’une demi-douzaine de supermarchés dans les Côtes d’Armor et en Finistère. Quelques éléments incontrôlés, probablement désespérés, en totale méconnaissance des discussions en cours ont décidé de faire du foin sans proposer eux-mêmes aucune solution" poursuit le patron de centres Leclerc, qui rappelle au passage que les magasins Leclerc de Bretagne soutiennent la filière porcine. Et d'argumenter... "1/ Oui, les E.Leclerc, vendeurs ou acheteurs, ont conscience que la crise est profonde. 2/ Pourtant face à la crise, j’affirme que tous les acteurs, responsables ou pas, doivent agir. C’est un impératif social, solidaire. C’est une cause française. 3/ Il faut d’abord être à l’écoute, sérier les diagnostics, dissocier la gestion de crise et les réformes structurelles nécessaires." Et de conclure... "Monsieur Le Foll a raison. Lui seul, par un arrêté, peut s’opposer à la publicité ou aux promotions excessives. Encore faut-il que les professionnels se mettent d’accord entre eux : les syndicalistes, reprenant l’inquiétude des éleveurs, sont prompts à les dénoncer, mais les gestionnaires des groupements sont les premiers à les demander lorsque les stocks sont trop importants, comme dans la période qui précédait Noël, où à lui seul E.Leclerc a procédé au dégagement de 20.000 porcs. Quel en aurait été le cours sans ce type d’intervention réalisée à tour de rôle par les groupements et les enseignes?" Imprimer Envoyer

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/economie/crise-du-porc-michel-edouard-leclerc-repond-aux-eleveurs-06-04-2015-10585618.php

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 14:09

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e patron avait mis fin à leur contrat après la période d'essai. La rupture a été requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse.

Trois salariées licenciées après leur période d'essai par la société Némodis (le magasin Leclerc de la route de Beaucaire à Nîmes) ont obtenu, en grande partie, gain de cause devant le conseil des Prud'hommes. La rupture de leur contrat de travail a été requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse.

Des chômeurs indemnisés par Pôle emploi

Ces trois hôtesses de caisse avaient été recrutées en 2013 comme d'autres salariées, en CDI par la société Némodis. Une partie de ces salariés était des chômeurs indemnisés par Pôle emploi. Pour obtenir ce CDI tant espéré, celles-ci avaient suivi des tests et, officiellement, une formation de préparation opérationnelle à l'emploi pendant six semaines via IFCL, un organisme basé à Saint-Aunès dans l'Hérault.

Les trois hôtesses étaient en poste pendant les fêtes en décembre 2013. Quelques semaines plus tard, leur employeur mettait fin à leur contrat de travail. Sur les 29 employés embauchés en CDI, après cette formation, 13 d'entre eux ont ainsi été virés. "J'ai lâché un emploi au château Sihol pour ce boulot témoigne Florence, 49 ans. Je me croyais sortie d'affaire. Cette histoire m'a complètement anéantie. Depuis, je n'ai pas retrouvé d'emploi."

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26 août 2014 2 26 /08 /août /2014 16:19

Une centaine d'agriculteurs de la Fédération nationale bovine (FNB) ont manifesté mardi devant le siège du groupe Leclerc à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) pour exprimer leur "colère" contre la grande distribution, qui selon eux, "assassine les éleveurs" avec sa politique de prix bas.

"Leclerc m'a tuer", "Leclerc voleur", "Leclerc assassine les éleveurs", ont écrit les agriculteurs sur la chaussée en attendant d'être reçus par le PDG du groupe Michel-Édouard Leclerc ou l'un de ses représentants.

Un peu plus tôt, ils avaient mené une autre action dans un hypermarché de Vitry mais se sont heurtés aux forces de l'ordre qui les ont empêchés de pénétrer dans la chambre froide.

Selon la FNB, branche de la FNSEA, principal syndicat agricole du pays, en un an, le prix payé aux éleveurs a considérablement baissé, de l'ordre de 300 euros par tête. Toujours d'après les chiffres de la fédération, sur les 20 dernières années, le prix payé par le consommateur a augmenté de 65% alors que le prix versé au producteur n'a crû que de 10%.

"Nous sommes dans une période extrêmement dangereuse. Nous n'avons plus de trésorerie pour payer nos fournisseurs. Il y a un effondrement des investissements, la machine est en train de se gripper", a déclaré Jean-Pierre Fleury, président de la FNB. "On est en train de tuer les producteurs. Les prix continuent d'augmenter et la grande distribution continue d'augmenter ses marges", a-t-il ajouté.

Tony Luais est éleveur bovin en Loire-Atlantique. A 31 ans, il fait ce métier "par passion" et confie que "c'est de plus en plus dur de recruter". "Les prix ne rémunèrent plus, les jeunes ont peur de s'investir. Or, il est tout à fait possible d'avoir des marges équitables pour tout le monde."

Les manifestants ont décidé de cibler le groupe Leclerc car il est le "symbole de la guerre des prix qui se fait au détriment des PME et PMI", a expliqué M. Fleury, mais c'est tout le secteur de la grande distribution qui est montré du doigt. La FNB demande d'ailleurs une "réunion d'urgence avec tous les acteurs de la distribution" en présence de l?État pour sortir de la crise.

Mi-juillet, le gouvernement avait rappelé à l'ordre la grande distribution lors d'une réunion au sommet à Bercy mais aucune piste concrète pour sortir de cette guerre aux prix bas n'avait été dégagée.

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