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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 09:45

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Le géant français de la distribution Carrefour, numéro un européen et numéro deux mondial du secteur, est proche d'un accord avec un groupe local indien, Future Value Retail, pour implanter en Inde des magasins franchisés, rapporte mardi le quotidien The Economic Times.

Carrefour cherche depuis six ans à pénétrer le marché indien où la législation en matière de commerce, extrêmement contraignante, exige le recours à des partenariats avec des groupes locaux.





Source: Le Figaro

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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 14:25

 





Bonjour à tous,

J'ai pas voulu croire les commentaires que j'avais pu lire sur internet et les recommandations de certaines ayant effectué le poste réseau...J'ai voulu essayé et je peux confirmer aujourd'hui que tout ce qui est dit sur ce blog est entièrement vrai.

 
Je souhaite rester anonyme également. A la fin de mes études, j'ai intégré Lidl comme responsable de réseau.

 La formation dure entre 6 et 8 mois. Vous passez donc par tous les postes (caissier, chef caisse, chef mag et réseau).

Vous faites bien 80 heures par semaine, vous connaissez vos libres au dernier moment et vous êtes le petit toutou des directeurs des ventes et des réseaux en poste.


C'est à  dire que dés qu'ils ont besoin de quelqu'un (réimplantation, vider un magasin, chef mag en maladie....) on vous envoie pour éteindre le feu...


Sur ma période de formation, j'ai été beaucoup envoyé en période "feu" et donc n'ai pas pu bénéficier de la formation car votre planning changent tous les 4 matins. Les magasins formateurs ont beau expliquer a la direction qu'il faut arrêter de faire bouger les réseaux en formation comme ils le font car ils ne peuvent pas planifier un programme de formation pertinent. A savoir que les chefs magasins formateurs ne sont pas reconnus formateur sur leur fiche de paie et ne touchent aucune prime pour faire ce qu'ils font...


Revenons à la formation : On VA vous faire faire toute la merde que les autres ne veulent pas faire. On vous mettre la pression par les visites régulières de vos chefs de vente.
Ne surtout rien dire : Si vous ouvrez votre gueule, on vous donner de plus en plus de merde à faire....

Tout les consignes sont données par orales : c'est à dire qu'il n'y a aucune preuve... C'est des malins... Certains chefs de vente vont vous dire blanc et le lendemain vous diront noir…
Et malheureusement vous être obligés de la fermer car c'est sa parole contre
la sienne.

Les réseaux n'ont pas le droit d'utiliser un ordinateur  portable... Les plannings sont faits a la main et sont modifiés régulièrement, les documents administratifs sont obsolètes... Quand vous sortez de l'école, ça fait mal : vous avez l'impression de régresser plutôt que d'avancer..

Niveau management, la charte de management de Lidl est juste la pour faire beau... Dans certains magasins tout roule car il existe tout de même des chefs mag et des réseaux humains.
 Mais sur d'autres secteurs, les réseaux et les chefs mags sont des pourris. Ils écrasent les gens, les font pleurer.
Dans ces zones, on constate des arrêts maladies à répétition, des licenciements ou
tout simplement des démissions.
 On tourne donc avec des CDD qui ne sont pas formés et les magasins prennent du retard...
Comme vous êtes en formation, les réseaux en poste vous ignorent...
Attention le vouvoiement est de rigueur. On ne vient pas vous dire les choses en face. On envoie un intermédiaire pour faire les réflexions...

Malgré le salaire, l'Audi A4, je ne conseille pas ce job a des gens qui possèdent des valeurs et des principes...
Si vous souhaitez abuser de vos fonctions, devenir un tyran, être pris pour un
toutou, alors partez chez Lidl...
C'est un job de contrôle c'est tout...
 Aucun plan d'action, aucune initiative : Seulement, respecter les procédures (souvent obsolètes également).

Lors de mon entretien de recrutement le DG m'a avoué qu'ils pouvaient se permettre de recruter plus que leurs besoins. Il faut savoir qu'un RR leur coute 5000 euros par mois en formation qu'il faut multiplier par 6 mois.
 Et ils s'en foutent royalement si vous décidez de vous casser au bout de 3,4 ou 6 mois... On gaspille cet argent que l'on pourrait investir pour améliorer les conditions de travail des caissières et chefs caissières...

Lidl m'a dégouté de la grande distribution.
 Surtout les responsables des ventes.

 A part de trimbaler en A6 et abuser de leurs pouvoirs en réprimant les gens tous les 4 matins, c'est tout ce qu'ils savent faire...
 Il faut savoir que le copinage est de rigueur. Si vous êtes copain avec le directeur de vente, vous n'aurez jamais aucun souci même si vos magasins sont défoncés.

C'est dommage, cette entreprise pourrait devenir quelque chose de bien...
Mettez de vrais managers en direction régionale et non des personnes avec un égo surdimensionné.

A plus

 

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18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 17:02

distributeurs s




Une bataille entre supermarchés pour capter la clientèle du dimanche s'est-elle discrètement déclenchée ? A Paris, depuis quelques semaines, les enseignes multiplient les ouvertures dominicales. Et n'en déplaise à certains chefs d'entreprise, l'argument selon lequel les salariés opteraient pour le travail du dimanche "parce que ça les arrange", n'est que très rarement vérifié.

"Evidemment que ça nous ennuie, on a une famille nous aussi !", indique ainsi Houssine, employé dans un Franprix près de la gare de l'Est dans le 10e arrondissement. Depuis septembre 2009, le magasin est ouvert le dimanche, le matin comme l'après-midi, grâce à une dérogation préfectorale. Depuis, les employés n'ont visiblement pas d'autre choix que de se plier à ce nouvel agenda.

"C'est l'ordre des grands patrons", déplore un chef de rayon.
 Le gérant du supermarché, d'astreinte ce dimanche pluvieux de janvier, évoque, lui, la notion de "volontariat obligatoire", inventée par sa hiérarchie.
 "J'étais d'accord pour signer mon contrat de travail, mais ça s'arrêtait là !", dit-il.


Ces employés sont d'autant plus amers que les salaires ne sont pas majorés. Et travailler le dimanche ne leur donne pas droit à un jour de repos supplémentaire. En outre, cette nouvelle contrainte ne dope pas spécialement les ventes. "Le chiffre d'affaires est le même que les autres jours de semaine. Dans d'autres magasins, c'est le double, mais pas chez nous", indique le gérant adjoint de ce Franprix.


"Dérogations particulières"


Un peu plus loin, dans un autre supermarché Franprix, lui aussi ouvert le dimanche, on évoque des ventes "significatives" ce jour-là. Mais le personnel n'est pas franchement plus enthousiaste. A la caisse, une employée d'origine indienne explique :
 "J'ai besoin d'argent, je n'ai pas vraiment le choix."
A côté d'elle, sa collègue opine, discrètement.


Le groupe Casino, qui chapeaute les enseignes Franprix, assure n'avoir pas donné de directive pour ces ouvertures dominicales. La grande distribution alimentaire s'est exclue des débats de 2009 concernant l'élargissement du travail du dimanche.

 Les acteurs se disaient satisfaits du dispositif en place les autorisant, de plein droit, à ouvrir le dimanche jusqu'à 13 heures. Le nouveau texte a accordé une demi-heure supplémentaire, soit jusqu'à 13 h 30. Mais certains indépendants gérés en franchise font "un peu comme cela les arrange", explique-t-on chez Casino.


Pour les grandes enseignes, il n'est pas question d'être hors la loi. "Certaines peuvent bénéficier de dérogations particulières", indique la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD). Les autorisations préfectorales sont légion, et les enseignes peuvent négocier au cas pas cas avec les autorités. "Cela reste rarissime", assure la porte-parole de la FCD. La profession fait toutefois peu à peu part de ses ambitions dominicales de façon plus officielle. Chez Monoprix, la direction reconnaît ainsi se lancer dans ces ouvertures dominicales "pour s'adapter à la concurrence" et "parce que la clientèle le réclame".

Depuis janvier, certains Monop' ouvrent ainsi les dimanches après-midi jusqu'à 22 heures pour tester, dans un premier temps, l'intérêt du dispositif. Et rue du 8-Mai-1945, dans le 10e arrondissement de Paris, le manager d'un de ces magasins nous explique qu'une équipe dédiée travaille ce jour-là. Et ce jour-là seulement.

Dans les rayons, à la caisse, le personnel en poste est en majorité composé d'étudiants qui, comme Hakim, en deuxième année de licence en science de l'éducation, trouve même le concept adéquat : "Comme ça, j'ai le reste de la semaine pour réviser mes cours. Et puis, je suis célibataire, et sans enfants."



Source: Le Monde

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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 17:55

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Le groupe Aeon, partenaire de Carrefour au Japon, a annoncé qu’il ne poursuivra pas l’utilisation de l’enseigne Carrefour au terme du contrat de franchise dont l’échéance est fixée en mars.


Un échec cuisant


Cette décision fait mauvais effet pour Carrefour au lendemain de la publication de son chiffre d’affaires 2009. Sa présence au Japon - indirecte - y était toutefois modeste.
 En 2005, Carrefour avait cédé ses huit Carrefour japonais à Aeon qui en exploite aujourd’hui six.

L’aventure japonaise restera comme l’un des échecs les plus cuisants pour Carrefour à l’international.

 Le Français y avait ouvert son premier hyper il y a tout juste dix ans.



Source: Linéaire

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 16:14

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L’héritier du groupe Casino quitte la direction de l’hypermarché de Fenouillet

 

 


Gabriel Naouri, fils de Jean-Charles Naouri le PDG du Groupe Casino, sera nommé jeudi 14 janvier à la direction des opérations hypermarchés Géant Casino Paris. Une promotion qui traduit l’ascension fulgurante de ce « surdoué » du commerce.

Il ne sera finalement resté qu’un peu plus d’un an à la tête de l’hypermarché de Fenouillet.
 Nommé directeur en octobre 2008, Gabriel Naouri va quitter ses fonctions prochainement pour prendre la direction des opérations hypermarchés Géant Casino Paris. L’annonce sera officielle jeudi 14 janvier.


Une sacrée promotion pour le fils de Jean-Charles Naouri, PDG du Groupe Casino, entré dans le groupe il y a tout juste trois ans en tant que simple employé de rayon à Rennes avant d’être nommé chef de rayon à Mandelieu, directeur adjoint à Paris, directeur stagiaire à Marseille puis enfin directeur à Fenouillet.
 Un poste à hautes responsabilités que le jeune homme de 28 ans a assumé avec brio puisque le bénéfice du magasin de Fenouillet a représenté, en pourcentage, la meilleure évolution des 107 hypermarchés français du groupe au premier semestre 2009, dans un contexte global pourtant incertain.


Une confirmation de son talent de dirigeant après avoir été élu Young Global Leader par le World Economic Forum de Davos en 2008. En prenant la direction des opérations hypermarchés Géant Casino Paris, c’est un nouveau défi particulièrement excitant que Gabriel Naouri s’apprête à relever en prenant la responsabilité d'une dizaine d'hypermarchés ce qui représente près de 2500 salariés et un chiffre d’affaires de plusieurs centaines de millions d’euros.

Heureux de poursuivre son ascension au sein du Groupe, il n’a, cependant, pas manqué de souligner son attachement à Fenouillet en confiant à la rédaction d’Objectif News que « ce départ pour Paris ne lui ferait pas oublier son passage dans la région toulousaine. »


Fils unique du PDG du Groupe Casino, Gabriel Naouri s’affirme de plus en plus comme l’héritier légitime du Groupe Casino. Cette nomination, qui confirme l’excellence de son parcours, devrait le mener, tôt au tard, à la tête du second groupe coté de la grande distribution en France derrière Carrefour.

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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 17:56

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L'Office anti-cartel allemand a annoncé avoir mené jeudi des perquisitions dans 15 entreprises de distribution et de production du pays, dont les géants Metro et Lidl, soupçonnées de s'être entendues sur les prix de vente de certains produits.


L'enquête des autorités de la concurrence porte sur la confiserie, le café et les aliments pour animaux domestiques, détaille un communiqué.


Les perquisitions ont concerné 15 entreprises, dont 11 chaînes de supermarché, de droguerie et d'aliments pour animaux, et elles ont été menées par 56 employés de l'Office assistés de 62 policiers, précise le communiqué.

Des procédures visant d'autres entreprises de distribution ont été ouvertes en parallèle par écrit.

Si les soupçons de l'Office se confirment, les entreprises concernées risquent des amendes, précise le communiqué.


Le numéro un allemand de la distribution Metro a fait notamment l'objet de perquisitions et coopère pleinement avec les autorités, a déclaré à l'AFP un porte-parole du groupe. L'enquête en est à ses débuts, a-t-il ajouté.


Le groupe de hard discount Lidl a lui aussi confirmé à l'AFP avoir fait l'objet de perquisitions, tout comme la chaîne de supermarchés Edeka.

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 13:35

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Le conseil belge de la concurrence accuse des groupes de distribution alimentaire occupant une place stratégique sur le marché belge ainsi qu'un fournisseur de s'être entendus sur les prix de certains produits de confiserie.

Selon l'organisme public, les sociétés ont coordonné des augmentations de prix et partagé des informations sensibles sur des confiseries au chocolat, des pâtes à tartiner et des petits bonbons depuis 2002.


Les principaux groupes de distribution en Belgique sont les belges Delhaize 
et Colruyt CPMR.BR, le français Carrefour et les spécialistes allemands du hard discount Aldi et Lidl.

Delhaize et Carrefour Belgique ont dit avoir connaissance de ces accusations mais n'ont pas souhaité faire davantage de commentaires.
 Les représentants de Colruyt n'étaient pas joignables dans l'immédiat.


L'affaire va être portée devant une chambre du Conseil de la Concurrence où les sociétés auront l'opportunité de se défendre.

Un responsable de l'organisme public a précisé que le dossier devrait être bouclé dans un délai de six mois.

 

Source: Reuters

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 10:35

distributeurs s


 


Les prix des produits "premiers prix" ont gonflé de 9,3% entre 2006 et 2009, selon l'Observatoire des prix de Familles rurales, à paraître le 13 janvier, qui s'appuie sur un échantillon de treize rayons de produits. Il s'agit de la catégorie d'articles qui a le plus augmenté sur cette période. Le prix des pâtes premiers prix vendues en hard discount a même explosé de 69% entre 2007 et 2009.

Toutes les catégories de produits de consommation indiquent des prix à la hausse entre 2006 et 2009 : qu'il s'agisse des articles de grandes marques (+2%), des marques de distributeurs (+0,8%) ou des premiers prix (+9,3%). Concernant ces derniers, les tarifs ont le plus gonflé dans les hypermarchés (+9,96%) et dans le hard-discount (+9,25%).

En détail, les pâtes "premiers prix" se sont particulièrement distinguées dans les divers circuits de distribution, augmentant entre 2007 et 2009 jusqu'à 64% en hypermarché (après +83,6% entre 2007 et 2008) et jusqu'à 69% en hard discount.

Au final, le prix du panel moyen, évalué par Familles rurales, entre 2006 et 2009 a augmenté de 4,19 euros, soit une hausse de 3,2%. Les produits de grandes marques et les MDD ont le plus augmenté dans les commerces de proximité, respectivement de 28,4% et de 5,86%.

A noter que les produits de grande consommation affichent des prix en hausse de 1,1%, soit 1,41 euro entre 2008 et 2009. Les prix des produits de grandes marques ont augmenté de 3,8%, ceux des MDD ont baissé de 1,2% et ceux des "premiers prix" se sont repliés de 0,5%.

Cet observatoire repose sur les relevés de prix de 34 produits de consommation, dans treize catégories différentes, des eaux aux produits pour bébés en passant par les jus de fruits et les petits-déjeuners. Les étiquettes tarifaires ont été relevées dans les hypermarchés, les supermarchés, les commerces de proximité et les hard-discounts.

 

 

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 09:40

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C'est Hervé Novelli qui avait assigné l’enseigne en justice... 

 


Sont également remises en cause des clauses où le distributeur «n’assume plus le risque normal de son métier de commerçant», comme le retour des produits dégradés par la clientèle, la reprise des invendus, le remboursement par le fournisseur de la dépréciation du stock ou la rupture des engagements en cas de mévente des produits. 

Parmi les clauses sur la sellette, figurent des pénalités considérées excessives en cas de retard de livraison ou d’erreurs dans les codes d’identification des produits.

Clauses litigieuses

Selon Bercy, ces contrats contrevenaient à la Loi de modernisation de l'économie (LME), adoptée à l'été 2008,  qui autorisait les distributeurs à négocier les tarifs avec leurs fournisseurs. Or la direction de la concurrence (DCCRF) avait constaté que, parmi 400 contrats types qu’elle contrôlait, plusieurs centaines contenaient des clauses litigieuses.

Cette décision de justice intervient dans le cadre des neuf assignations déposées par le secrétaire d'Etat au Commerce, Hervé Novelli, le 28 octobre dernier. La procédure du gouvernement concerne Castorama, Darty, Intermarché, Carrefour, Casino, Auchan, Leclerc, Cora et Systèmes U, qui sont accusées de pratiques abusives à l'égard de leurs fournisseurs. Selon la porte-parole, Castorama est la première des neuf enseignes à être condamné.

Neuf enseignes devant la justice

, qui a révélé l’information.LSA sur son site internetLe tribunal de commerce de Lille a condamné mercredi 6 janvier l'enseigne de distribution Castorama (groupe Kingfisher) à une amende de 300.000 euros pour pratiques abusives. Problème: «L’enseigne (...) a demandé à des fournisseurs le paiement d’acomptes de ristournes et remises, lesquels sont considérés par les juges comme résultant d’un déséquilibre significatif entre les parties, au détriment des fournisseurs», explique l'hebdomadaire spécialisé


 

Cela fait maintenant plus de 10 ans que la reprise des invendus à été très rapidement  imposé par les enseignes, notamment par les enseignes alimentaire…

Vous proposez une promotion sur un produits, la 1ère  question de l’acheteur, qu’il soit chef de rayon en magasin ou en centrale est  « est ce que vous me reprenez les invendus ? »

 Pratiquer le commerce de cette façon  est très facile, pas besoin d’être acheteur…
mon enfant de 12 ans ferait parfaitement l’affaire…

Si vous accepter, vous allez avoir une commande qui sera très, très  largement supérieur au potentiel maximum du/des magasin(s) et vous allez reprendre des palettes complètes qui n’auront même pas étés défilmées…

Cela veut dire également pour le fournisseur :

Le double de transport (aller ET retour) sans parler de la pollution…

Prévoir des frais de « reconditionnements », de manutentions,  donc de la main d’œuvre supplémentaire

Prévoir également entre 20 et 30% des articles retournés iront directement à la casse
(déja que le "Made in China" n'est pas spécialement réputé pour sa qualité, alors dans les foire aux petits prix...)

Il faut savoir également que les magasins essayent de ne facturer que le « passage en caisse » afin de reporter aux fournisseurs la démarque et la casse…donc pour eux ce n’est que du bénéfice à 100%.

Mais comme évidemment les fournisseurs répercutent tous ces coûts dans le prix final au consommateur et vous retrouvez par exemple  dans ces « foire aux petits prix » des ouvres boites à 8 ou 9 € alors qu’en fond de rayon, il est à 3 ou 4 €…




 

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12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 16:01

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En juillet 2009, Auchan à versé un dividende au titre de l'année 2008 de 100M€

Le distributeur nordiste à été moins généreux que l'an passé oui il avait versé 180M€ à ses actionnaires.

La famille Mulliez détient 87% du capital de l'entreprise et à perçu 87 Millions d'€uros de rémunération de ses actions Auchan sur 2009...



Je rappelle que la famille Mulliez (1ère fortune Française) est partie vivre en Belgique...
pour le climat sans doute, certainement pas pour des raisons fiscales...



Source: Boursier.com

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